La situation de crise que nous traversons aujourd'hui nous contraint à nous adapter pour vous protéger et nous protéger afin de vous permettre de continuer à avoir accès à nos produits.
Nous avons donc adapté notre organisation de sorte que les caisses restent chez nous, nous avons travaillé avec gants et masques, respecté les distances entre les personnes, mis en place un nouveau mode de distribution des paniers avec quelquefois des créneaux pour éviter au maximum les interactions entre les gens.
Notre compost est composé de 80 % de fumier d’élevages bovin et porcin locaux et 20 % de déchets de nos légumes. Nous retournons ce mélange 3 fois à l’aide d’une machine spécifique, ce qui permet une première phase de décomposition des matières premières grâce à une montée en température naturelle à 60°C.
Ces températures permettent d’inhiber la germination des graines présentes dans la paille surtout celles des mauvaises herbes) et de tuer les éventuels pathogènes ainsi que de décomposer la matière carbonée ; le volume de matière diminue.
Son domaine de prédilection c’est l’élevage, il a travaillé dans une ferme en polyculture-élevage en Haute Loire, mais il sait tout faire !
Revenu en Alsace où il a des attaches familiales, il travaille chez nous depuis décembre. Il s’occupe de tout ce qui est mécanique, entretien et adaptation du matériel.
Ici, il adapte la planteuse aux différentes largeurs de rang de plantation : les oignons sont plantés en rangs plus serrés que les salades par exemple.
Depuis la semaine dernière, vos paniers sont nominatifs et préparés individuellement ce qui vous permet d’en changer la composition et de rajouter des produits complémentaires.
Florence est ici en pleine préparation.
Vous nous avez posé des questions concernant ce changement, nous partageons nos réponses avec vous tous.
Pourquoi avez-vous mis en place cette nouvelle organisation ?
Comme promis, voici les premières feuilles des plants de tomates, radis et navets sorties de terre....
Eric a également préparé la terre dans la serre pour pour pouvoir planter les fraisiers ; il a intégré un compost de déchet vert puis passé le cultirateau pour casser les mottes avant de façonner les buttes.
La culture en buttes nous permet de faciliter le travail de plantation et de récolte puisque les plants sont plus hauts.
... mais on attend l'hiver !! Le gel se fait attendre pourtant il est très important pour nos terres au taux d'argile élevé car il structure la terre et évite qu'elle ne s'agglutine en mottes. Ça nous débarrasserait également des nuisibles qui s'accommodent parfaitement de ces températures trop douces !
Loïc, après avoir broyé les anciennes tiges des plants d'asperges, aère le sol entre les buttes. La prochaine étape sera de recréer des buttes bien hautes pour que les asperges puissent pousser à l'abri de la lumière.
Son goût est décrit comme « inimitable » par les connaisseurs.
La ville de Pontoise (en banlieue parisienne) a donné naissance à une variété de chou dont la culture avait presque disparu sous la pression de l’urbanisation qui a fait disparaître la majorité des terres agricoles dans cette région.
Aujourd'hui, c'est la récolte du chou chinois. cette année nous avons testé une nouvelle variété, rouge, qui apparaît au premier plan.
Les filles épluchent les choux directement au champ pour ne pas avoir à les préparer une fois revenues à la ferme.
Ils sont ensuite directement rangés en caisse.
La remorque avance au fur et à mesure ; les filles peuvent déposer les choux sur le tapis ce qui évite d'avoir à porter les caisses jusqu'au bout du champ.
Les salades d'automne, les scaroles, continuent leur croissance.
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